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Auteur |
Message |
Soulnight
Administrateur
Inscription : Dim 2 Août 2009 11:28 Message(s) : 946 Localisation : Spatien
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A mon avis mutos pourra t'en apporter lors du rendez vous.
_________________ "L'imagination est plus forte que la science" Albert Einstein
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Mar 18 Oct 2011 18:25 |
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frienky
Inscription : Mer 12 Oct 2011 15:51 Message(s) : 18 Localisation : Talakh' kri
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ok je pépare mes sous! ça serait vraiment sympa de sa part^^
_________________ Vers l'infini et au delà!! Nom d'un fils d'ananas!!
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Mar 18 Oct 2011 18:28 |
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mutos
Administrateur
Inscription : Lun 17 Mai 2004 11:13 Message(s) : 3131 Localisation : Près de Paris
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Bonsoir frienky,
OK, pas de problème, je note çà dans mes tablettes, un exemplaire du 2ème et du 3ème ! En fait, nous n'avons pas de distributeur, et nous vendons donc les recueils directement, sur les salons ou par connaissance.
_________________ @+
Benoît 'Mutos' ROBIN
"Si ce message n'est pas édité au moins 3 fois, attendez un peu, il n'est pas fini !"
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Mar 18 Oct 2011 18:30 |
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scylliane
Contributeur
Inscription : Mar 27 Juil 2010 22:32 Message(s) : 419
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ce débat est vraiment passionnant ! bon je ne fais pas avancer le schmilblick... il est vrai que d'un point de vue narratif il est plus facile de centrer une nouvelle autour d'un conflit, avec de l'action, de manière assez tranchée (le lecteur se positionne facilement et s'identifie à un des camps, se plaçant du côté des "bons" contre les "méchants" au fur et à mesure qu'il découvre les indices de l'auteur. En effet en écrivant l'auteur se place dans sa tête du côté d'un des camps. On peut faire une nouvelle ou par exemple, les Rithaï soient jugés "bons" et les K'rinns "mauvais" ; puis inverser les positions dans la nouvelle suivante. En revanche, au sein d'une même nouvelle, il est difficile ET pour l'auteur, ET pour le lecteur, de maintenir un avis qui serait "il n'y a ni bon ni méchant, personne ne perd, personne ne gagne". Je crois que c'est difficile du point de vue psychologique pour l'auteur et le lecteur. C'est pareil dans la vraie vie, c'est rassurant d'identifier un côté qui serait "bon" et de s'identifier à ce côté là, ça donne un "sens" à son existence : on fait ce qu'il faut, on est bon. Réussir à brouiller les cartes donnerait une nouvelle assez troublante pour l'auteur comme le lecteur, ça laisserait un goût amer dans la bouche, une sorte de cynisme. Beaucoup de gens préfèrent ressentir une émotion positive à la fin d'une nouvelle, du type "les bons ont gagné", lors de l'écriture et lors de la lecture.
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Dim 30 Oct 2011 13:51 |
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